11 Juin 2021

10h Messe d'ouverture

Évangile selon saint Jean (19, 31-37)

 

Jésus venait de mourir. Comme c’était le jour de la préparation (c’est-à-dire le vendredi), il ne fallait pas laisser les corps en croix durant le sabbat, d’autant plus que ce sabbat était le jour de la Pâque.

 

Aussi les Juifs demandèrent à Pilate qu’on enlève les corps après leur avoir brisé les jambes.

Les soldats allèrent donc briser les jambes du premier, puis de l’autre homme crucifié avec Jésus.

Quand ils arrivèrent à Jésus, voyant qu’il était déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes, mais un des soldats avec sa lance lui perça le côté ; et aussitôt, il en sortit du sang et de l’eau.

Celui qui a vu rend témoignage, et son témoignage est véridique; et celui-là sait qu’il dit vrai afin que vous aussi, vous croyiez.

Cela, en effet, arriva pour que s’accomplisse l’Écriture : aucun de ses os ne sera brisé.

 

Un autre passage de l’Écriture dit encore : ils lèveront les yeux vers celui qu’ils ont transpercé.

Messe d'ouverture en direct de Lourdes - Pèlerinage Lille 2021

Homélie du 11 juin Père Delecluse

 

14h Conférence de notre évêque Mgr Laurent Ulrich : “Comment en sommes-nous arrivés là ?” 

CONFÉRENCE DE MONSEIGNEUR ULRICH

15h30 CHAPELET À LA GROTTE PRÉSIDÉ PAR MONSEIGNEUR ULRICH

Chapelet du 11 juin 2021

Chapelet à Esquelbecq

Vendredi 11 juin 2021 HDL Train Blanc Lourdes

21h geste de l'eau

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A un certain moment Bernadette s’immobilise, dans le fond de la grotte, sur le côté gauche. Son visage est marqué par la tristesse, la souffrance, l’inquiétude. Elle se courbe vers le sol boueux et, aussitôt, commence à le gratter de sa main droite et constitue une sorte de petit cratère. Elle puise alors cette boue devenue liquide, essaye de la boire et la rejette une fois, deux fois, trois fois. Enfin creusant à nouveau elle puise avec précaution de l’eau sale qu’elle boit dans le creux de sa main, et puisant à nouveau, elle s’en barbouille la figure. Ayant fait cela, Bernadette arrache un peu d’herbe qui poussait dans le fond de cette grotte et la mange. Enfin, le visage encore maculé de boue rougeâtre, Bernadette retourne à sa place et reprend la récitation du chapelet. Un moment après, toujours indifférente à la foule, l’enfant se retire accompagnée par sa tante et marraine Bernarde Castérot qui, elle, est rouge de confusion à la suite des gestes que vient d’accomplir sa nièce et filleule. Tous à la grotte sont consternés. En ville, on interroge Bernadette, qui s’explique et décode ainsi ses gestes incompréhensibles. La dame me disait : « Allez boire et vous laver à la fontaine. N’en voyant pas, j’allais vers le gave. Elle me fit signe avec le doigt d’aller son la roche ». Puis elle m’a dit : « Vous mangerez de cette herbe qui est là ».

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